Florent Pagny, qui se bat toujours contre un cancer des poumons, fait partie des coachs emblématiques de The Voice. Présent depuis la toute première saison, il a cédé son fauteuil en 2019 et 2020 avant de le reprendre en 2021, juste avant l’annonce de sa maladie en 2022.

Mais comment le célèbre chanteur se comporte avec ses talents au cours de l’émission ? Invité de Jordan de Luxe sur C8 le 21 juin 2024, un ex-talent a donné son avis sur Florent Pagny.

Alban Bartoli, qui est un candidat bien connu des fans des Anges, a débuté sa carrière à la télévision dans le célèbre télécrochet de TF1. D’ailleurs, il a révélé au cours de son entretien dans Chez Jordan, qu’il avait été l’avant dernier talent à passer aux auditions à l’aveugle de la saison 1 de The Voice et qu’il ne restait alors plus qu’une seule place dans l’équipe de Florent Pagny, ce qui explique pourquoi il s’est retrouvé avec lui.

“C’est un mec super” a-t-il confié, avant d’indiquer : “Lui, particulièrement, n’était pas souvent là parce qu’il habitait à l’étranger et qu’il rentrait toutes les semaines.” Le présentateur lui a alors demandé qui prenait soin des candidats dans ces cas là ? “La production et les répétiteurs qui sont payés pour ça et dont c’est vraiment le métier”, a révélé le chanteur.

“Je ne vais pas vous donner mon numéro de téléphone”

Alban Bartoli a fait savoir que Florent Pagny était présent deux fois par semaine, ce qui ne l’empêchait pas de glisser quelques mots à son équipe, à qui il n’a jamais promis monts et merveilles. “Florent Pagny nous a dit, très gentiment et de manière très honnête : ‘je vous le dis tout de suite, je ne vais pas pouvoir vous aider dans la musique, je vais pouvoir vous donner des petits tips, des astuces ou conseils mais je ne vais pas pouvoir vous faire signer un contrat, je ne vais pas pouvoir vous écrire de chansons parce que j’en écris pas, je ne vais pas vous donner mon numéro de téléphone et le mail je ne sais pas m’en servir’.” Le jeune artiste, qui garde un très bon souvenir de son coach, a conclu : “Quand il était là, il était vraiment là.”