La chaîne C8 est sur le point de disparaître, ce qui implique l’arrêt du programme de William Leymergie. Dans cette difficile épreuve, l’animateur peut compter sur le soutien de sa compagne Sophie Davant.

Le dernier acte approche. Le Conseil d’État a validé la décision de l’Arcom d’arrêter de transmettre les fréquences des chaînes C8 et NRJ 12. Ce vendredi 28 février à 23h59, les deux chaînes arrêteront d’émettre et les téléspectateurs devront s’adapter face à ce chamboulement dans leurs programmes télé. Les chroniqueurs et animateurs ont d’ores et déjà commencé à faire leurs adieux aux téléspectateurs,

à l’instar de Sandrine Arcizet et Élodie Ageron pour Les animaux de la 8. De son côté, William Leymergie n’a pas caché sa colère de voir la décision de l’Arcom être exécutée.

“Une honte”, affirme-t-il, sans mettre les formes et sa prise de position a étonné bon nombre de téléspectateurs. Il faut dire que l’ambiance en coulisse de son émission William à midi est plutôt triste.

“Elle est d’un soutien inconditionnel même si elle est très occupée”, confie William Leymergie sur sa compagne Sophie Davant

Ce n’est pas la première fois que William Leymergie voit sa carrière être bouleversée, quelques années plus tôt, il prenait la décision de quitter Télématin. Dans cette période particulière, il peut compter sur le soutien de sa compagne Sophie Davant. “Elle est d’un soutien inconditionnel même si elle est très occupée en ce moment avec Danse avec les stars”, confie l’animateur de C8 à nos confrères de TV Mag, avant d’ajouter : “On a travaillé pendant plus de 30 ans ensemble, c’est évident qu’elle connaît bien ces questions-là et donc, elle est très sensible à ce qui m’arrive“.

William Leymergie a-t-il des projets après l’arrêt de C8 ?

“Hélas, non”, confie sans pudeur William Leymergie. “Mais bon, je n’ai pas beaucoup cherché non plus. Aucune des propositions que l’on m’a faites n’a reçu mon intérêt. Pour l’instant, je n’ai rien de prévu si ce n’est le fait que de rejoindre mes camarades à Pôle emploi. Ce n’est pas plus compliqué que ça”, confie celui qui ne ferme pas la porte à un retour sur le service public. En ce qui concerne sa retraite, William Leymergie ne se sent pas encore prêt à la prendre. “J’ai envie de travailler et je sais encore travailler. Pourquoi s’arrêter ? Si vous savez le faire et si vous avez envie de le faire, faites-le !”, lance-t-il cash.