Benoît a pris un peu trop de libertés dans N’oubliez pas les paroles. Pris par surprise, Nagui est tombé des nues.
Benoît enchaîne les victoires dans N’oubliez pas les paroles. Sa cagnotte estimée à plusieurs centaines de milliers d’euros lui a ouvert les portes du Panthéon du jeu musical de France 2. La concurrence a pourtant été rude. Le candidat a tour à tour détrôné Margaux, Louis Hexakil et Laurens.
“Et si on visait les 100 victoires ?“, lui a suggéré l’animateur de l’émission ce jeudi 24 janvier. S’il s’est donné cet objectif, le maestro ne parvient pas à mémoriser de nouvelles chansons. “C’est vrai que le stock de chansons commence à s’épuiser quand même. On le voit passer au fur et à mesure. Ça commence à être de plus en plus dur pour moi”, a-t-il confié cette semaine.
N’oubliez pas les paroles : Benoît, un peu trop à l’aise ?

Familier du programme, Benoît a tenté de faire une entorse au règlement la veille de cet échange. Alors qu’une candidate peinait à se souvenir des paroles de L’amour à la machine d’Alain Souchon, l’Angevin a demandé à Nagui l’autorisation d’en fredonner l’air. “Je pourrais le donner ? J’ai cette liberté ? Parce que ça aide vraiment…”, a-t-il insisté.
Décontenancé, Nagui n’a pas perdu son self control. Le rouge se lisait pourtant dans son regard. “Le mec va changer les règles du jeu, il va changer le décor… On n’a même pas amorti le décor”, a-t-il lâché en aparté, les lèvres pincées, avant d’accéder à la requête de Benoît. La candidate n’a malheureusement pas réussi à se remémorer les paroles…
N’oubliez pas les paroles : à quoi vont servir les gains de Benoît ?
Benoît a déjà des idées bien précises sur la manière d‘investir l’argent récolté sur France 2. Nagui a été offusqué lorsque le maestro lui a révélé ses plans. Ce dernier souhaite “acheter un appartement” ou du moins, “investir surtout dans quelque chose qui [lui procure] des revenus réguliers“.
Le chef d’orchestre de N’oubliez pas les paroles a ironisé : “[Faire l’acquisition d’un bien immobilier] pour le louer à un étudiant pauvre ou à un intermittent du spectacle, pour profiter de ses gains en investissant dans la pierre. C’est moche“. Le jeune homme, résigné, a enchaîné : “Il faut bien vivre”. Et d’ajouter sur un ton beaucoup moins fataliste: “Si ça se trouve, ça n’ira pas du tout là-dedans”.